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ACCD
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Alice Lockwood, chant lyrique
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Claire Marchal, flûtes
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Cléo Laigret, danse
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Didier Silhol, danse
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Quatre artistes - musiciens, danseurs -
qui se rencontrent, performent, créent ... dans des combinaisons
variées de lettres et d'expressions : interprétation, écriture,
réécriture, improvisation.
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D / C
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Didier Silhol (danse)
et Claire Marchal (flûtes)
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Dates
16 décembre 2024, matin
17 mars 2025, matin
performances / présentation scolaire au conservatoire du 18ème arr., avec Joe Quitzke (batterie) et Didier Silhol (danse)
renseignements par mail (clairemarchalfr@yahoo.fr)
Dimanche 6 avril 2025, 14h à 19h30
Stage Musique / Danse
avec Didier Silhol, sur invitation du CI Partage
Point Ephémère, Paris 10ème arr.
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Depuis
2018, Didier Silhol et Claire Marchal cherchent à unir mouvement et
geste sonore, donnant à voir et percevoir le monde qui les entoure et
qu’ils traversent.
En performance dans différents lieux (invités par le CI Partage, dans
la galerie de Feibai Institute, à l’Orangerie de Cachan…), ils
performent aussi avec d’autres (le contrebassiste Jérémie de
Cottignies, le batteur John Quitzke, le danseur Cléo Laigret…)
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A / C
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Les affluentes
Alice Lockwood, voix lyrique
Claire Marchal, flûte
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Alice
et Claire, dans cette forme musicale exigeante qu’est le duo, cherchent
à dépasser (ou oublier ?) leur instrument respectif ; elles semblent
ainsi mieux le retrouver. Ensemble, dans leur programme … le fil de
l’air, elles choisissent de se plonger dans l’art lyrique, au plus
proche de la voix. Guidées par le timbre, portées par le souffle de la
flûte et du chant, elles réinventent l’orchestre des partitions
choisies et ré-interprètent les plus grands airs. En sons, elles leur
construisent un avant et un après, pour en donner une vision actuelle
et intime.
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Une performance en deux parties : un duo de danse contact improvisation, un duo flûte et voix
Cléo Laigret et Didier Silhol
Que fabriquent deux corps dans une improvisation où des fragments s’honorent ?
Alice Lockwood et Claire Marchal
une expérience de fusion entre l’improvisation et l’opéra, entre la flûte et la voix
Un duo, puis un autre duo... déjà le temps a passé, nos perceptions sont changées.
Le passage d’un duo à l’autre nous semble être comme un quatuor décalé
qui agit dans le temps. Par la bande, le son est bien présent dans le
premier duo - dansé. La musique, elle, vient après, indissociable des
deux musiciennes qui forment le second duo - sonné. Le mouvement des
danseurs est comme un préambule à la musique, la danse devient une
ouverture au monde sonore.
Lorsque la musique émerge, que reste-t-il des corps précédents ? Corps
où l’improvisation raconte ce qu’on ne sait pas encore, alors
qu’ensuite la musique revisite ce que l’on sait déjà... et à nouveau,
l’improvisation s’en échappe.
... la voix, le son, le mouvement, la danse : la constante, c’est les corps, véhicules de récits et de sensations.
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